Vers le décodage dentaire : un saut quantique
Passer de l'énergétique dentaire au décodage dentaire peut sembler un saut de puce. En réalité, c'est un saut quantique. Un monde sépare l'énergétique du décodage, gouffre que bien peu de confrères se risquent à franchir.
Pourquoi ? J'y vois personnellement au moins deux raisons.
La première est que le décodage place le patient dans la position d'être acteur par rapport à ses soins. Or peu de patients sont prêts à prendre en charge tout ou partie de leur guérison. Il est plus confortable de s'en remettre au dentiste énergéticien qui teste et choisit pour le patient. En outre, pour le dentiste, accepter que le patient engage sa responsabilité et devienne plus actif, implique de renoncer à sa position, confortable il est vrai, de thérapeute tout puissant qui sait et décide pour l'autre.
La seconde raison qui explique les réticences de la profession à s'engager dans cette voie est l'aura ésotérique, pour ne pas dire fumeuse qui entoure tout ce qui à trait au psychologique et au symbolique. Pour nombre de confrères, y compris ceux qui se réclament d'une certaine ouverture (et même d'une ouverture certaine), le décodage s'apparente à une pratique douteuse parce que fondée sur aucune approche scientifique. En réalité, je pense qu'ils ont peur de s'engager en territoire inconnu qui oblige à se remettre en question en permanence, le patient n'étant en fait que notre propre miroir, de même que nous, dentistes, sommes le sien.